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BIENVENUE SUR NOTRE PAGE DÉDIÉE À LA VACCINATION CONTRE LE COVID 19 !

En vous vaccinant, vous vous protégez et vous protégez les autres !

Comment prendre rendez-vous ?

En vous connectant sur le site de prise de rendez-vous MAIIA

CLIQUEZ ICI

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En cas de difficulté pour vous connecter, vous pouvez contacter le support patient par téléphone au 01 49 09 34 98

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Le rendez vous du rappel vaccinal sera pris lors de la première injection à 3 à 7 semaines d'intervalle

En vous adressant directement à un de nos 50 professionnels de santé

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Pour plus d'informations, vous pouvez contacter

le 07 71 24 77 63

VACcination 5-11 ans

Vous pouvez désormais prendre rendez-vous pour les enfants de 5 à 11 ans sur notre planning dédié

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Les points essentiels :

Fiche Autorisation Parentale

3èME DOSE (Dose de rappel)
Les inscriptions sont désormais ouvertes !

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Actualités au 19 décembre 2021

- Vous pouvez désormais prendre rendez-vous pour la 3 ème dose de vaccin, dite "dose de rappel" 4 mois après votre dernière dose 

Notre centre de vaccination a triplé sa capacité pour vous offrir une offre la plus performante prossible. L'ensemble des professionnels de santé sont mobilisés ! 

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Où

se faire vacciner ?

La salle de vaccination se situe à la salle de l'Orangerie, au 4 rue Rene Merican, 40800 Aire sur l'Adour

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Le Centre Intercommunal d'Action Sociale d'Aire sur l'Adour a mis en place un service de mobilité, le TAXI SOCIAL, pour se rendre au centre vaccination.

Il fonctionne sur réservation via l'animatrice du taxi social que vous pouvez joindre au 07 63 47 26 74

QUI peut se faire vacciner ?

Il s’agit de comorbidités identifiées par la HAS comme à risque avéré d’hospitalisations ou de décès en cas de Covid-19 :

  • l’obésité (IMC supérieur à 30), particulièrement chez les plus jeunes ;

  • la BPCO et l’insuffisance respiratoire ;

  • l’hypertension artérielle compliquée ;

  • l’insuffisance cardiaque ;

  • le diabète (de type 1 et de type 2) ;

  • l’insuffisance rénale chronique ;

  • les cancers et maladies hématologiques malignes actifs et de moins de 3 ans ;

  • le fait d’avoir une transplantation d’organe solide ou de cellules souches hématopoïétiques.

Les comorbidités QUESAQO ?

Qui

Eligibilité : 

  • Toutes les personnes de plus de 16 ans

  • Les enfants entre 12 & 15 ans sous réserve d'une autorisation parentale

Comment déclarer des effets indésirables ?

  • Comme après toute vaccination, vous pouvez ne rien ressentir ou observer des effets secondaires, appelés “indésirables”. Il peut s’agir d’une douleur au point d’injection, d’une réaction cutanée (rougeur), d’un œdème, de maux de tête, de fatigue ou de fièvre.

  • Ces effets sont désagréables mais ils ne sont pas graves et disparaissent spontanément après quelques jours.

  • Il peut arriver que certains effets indésirables soient plus intenses, durent plus longtemps ou qu’ils apparaissent plus tardivement après la vaccination (par exemple réactions allergiques, apparition de ganglion).

  • Ils peuvent aussi être rares et de types différents : ces effets ne sont pas connus au moment de la mise è disposition du vaccin, on les appelle des effets inattendus.

  • Un dispositif de surveillance renforcée a donc été mis en place par les autorités de santé et vous pouvez y contribuer.

  • Si vous ressentez un ou des effet(s) indésirable(s) grave(s) et/ou inattendu(s) : vous devez contacter immédiatement votre médecin traitant, un autre médecin ou le signaler à votre pharmacien.
    Ils vous indiqueront la marche è suivre et feront le nécessaire pour votre santé et la prise en charge de ces effets indésirables.

Organisation

Comment se déroule la vaccination ?

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  • déclarer un effet indésirable, il vous suffit de remplir directement le formulaire de signalement des événements sanitaires indésirables disponible en ligne sur le site du ministère chargé de la Santé :

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https://signalement.social-sante.gouv.fr

Quand est-ce que sera atteinte l'immunité collective ?

Sur VaccinTracker, le taux de 60% a été choisi comme seuil d'immunité collective. Cependant, on ne peut pas aujourd'hui connaître ce taux précisément. La vidéo suivante du média Le Monde explique très bien la problématique à notre sens :

Immunité collective
  • Pourquoi se faire vacciner ?
    Le principe de la vaccination est d’aider le système immunitaire à lutter contre diverses maladies infectieuses, qu'elles soient liées à des bactéries (diphtérie, typhoïde…) ou des virus (rougeole, grippe…). En mettant l'organisme humain en contact avec des substances proches ou dérivées d'un agent pathogène (bactérie, virus), il se développe une réponse immunitaire spécifique de l'agent pathogène et protectrice de la maladie causée par cet agent : en cas de contact avec la bactérie ou le virus contre lequel une personne a été protégée, la réponse immunitaire sera prête à temps pour empêcher l'apparition de la maladie ou, à défaut, la survenue d'une forme grave. En résumé, la vaccination permet de se protéger contre la maladie sans en faire les frais. Des effets indésirables peuvent survenir mais dans la très grande majorité des cas ils sont mineurs et passagers. De nombreux vaccins existent et leurs indications dépendent des risques d’exposition propres à chacun, d'où l'intérêt de recommandations personnalisées. Se vacciner, c’est se prémunir contre des maladies potentiellement graves de manière simple et efficace, mais c'est aussi éviter la diffusion d’épidémies au sein de la population, car les personnes vaccinées ne peuvent pas transmettre la maladie à leur entourage (enfants, collègues de travail…).
  • Pourquoi les recommandations vaccinales changent-elles si souvent ?
    L'évolution des recommandations vaccinales est définie par le calendrier vaccinal. Ce calendrier est régulièrement actualisé car il doit tenir compte de l'évolution de la fréquence des maladies, de la disponibilité des vaccins et de leur efficacité à protéger contre ces maladies. Par exemple, à partir du calendrier vaccinal 2013, le schéma vaccinal des nourrissons vis à vis de la diphtérie, du tétanos, de la polio, de la coqueluche et de l'Haemophilus influenzae b a été simplifié (2doses+1 rappel au lieu de 3 doses + 1 rappel). Ceci a été justifié par la meilleur connaissance de la durée de protection de ces vaccins.
  • Pourquoi faut-il respecter un intervalle entre chaque dose vaccinale ?
    Après contact de l'antigène vaccinal avec l'organisme (le plus souvent par une injection), le déroulement de la réponse immunitaire prend un certain temps. L'administration de doses à des intervalles trop rapprochés peut perturber et amoindrir cette réponse immunitaire. Par contre, l'allongement de l'intervalle entre deux doses n'a pas d'effet négatif. Il est d'ailleurs inutile et déconseillé de reprendre une vaccination "à zéro" : il suffit de reprendre le schéma vaccinal au point où il a été interrompu et de donner les doses manquantes.
  • Je suis enceinte. Est-ce une contre-indication aux vaccinations ?
    C'est une contre-indication à certaines vaccinations, notamment aux vaccins vivants.
  • J'ai entendu dire que la vaccination contre l'hépatite B pouvait être dangereuse. Est-ce vrai ?
    Les effets indésirables éventuels de la vaccination contre l'hépatite B sont communs à de nombreux vaccins : rash cutané, troubles digestifs, vertiges...Il s'agit d'effets mineurs, rares et réversibles. Il a été évoqué une possible relation de causalité entre la vaccination contre l'hépatite B et l'apparition de maladies du système nerveux central (comme la sclérose en plaques). Cette relation reposait initialement sur la description de cas isolés d'apparition de la maladie chez des patients préalablement vaccinés contre l'hépatite B. Les études dites "cas-témoins" (comparaison entre la fréquence des cas de sclérose en plaques chez des personnes vaccinées et chez des personnes non vaccinées contre l'hépatite B) n'ont pas réussi à mettre en évidence une liaison significative entre la vaccination contre l'hépatite B et la survenue de cas de scléroses en plaques. Compte tenu du bénéfice important de la vaccination par rapport au risque théorique d'apparition d'une maladie comme la sclérose en plaques, la vaccination est recommandée. Enfin, rappelons que la France est le seul pays d'Europe où le risque d'effets indésirables post-vaccinaux a connu un emballement médiatique. Pour cette raison, la couverture vaccinale contre l'hépatite B n'a jamais atteint 30 % chez les nourrissons, alors qu'elle dépasse les 90 % en Allemagne ou en Italie. Certaines décisions de justice ont été interprétées comme la preuve de la responsabilité du vaccin, car des professionnels de santé ont été indemnisés pour la survenue d'affections survenues après la vaccination contre l'hépatite B. En réalité, la vaccination contre l'hépatite B étant obligatoire en France, il y a présomption d'imputabilité du vaccin sans nécessité d'apporter de preuve.
  • Mon voisin a été vacciné contre la grippe : il a attrapé la grippe le lendemain !
    On confond souvent la grippe avec d'autres infections respiratoires aiguës fébriles. De plus, l'efficacité de la vaccination contre la grippe n'est pas totale. Elle est environ de 70 % chez les adultes, et nettement plus faible chez les personnes âgées (35 à 40 %). Par ailleurs, chez une personne non vaccinée contre la grippe précédemment, un délai de 10 à 15 jours est nécessaire pour être protégé grâce à la production d'anticorps spécifiques. Une grippe qui se manifeste chez une personne vaccinée a plus de chances d'être moins grave qu’en l’absence de vaccination.
  • Quand faire le vaccin anti-grippal saisonnier ?
    Tous les ans à l'automne, c'est-à-dire avant le début de l'épidémie de grippe qui survient chaque hiver, pour les personnes qui ont un risque élevé de forme grave, notamment les personnes âgées de 65 ans et plus et les personnes atteintes de certaines maladies chroniques (comme l'asthme, le diabète ou l'insuffisance cardiaque).
  • Je pars en voyage prochainement. Dois-je obligatoirement me faire vacciner contre certaines maladies ?
    Les voyages peuvent exposer à certains risques sanitaires dépendant du lieu de séjour et du mode de vie sur place. Ces risques nécessitent une évaluation préalable avant le départ avec le médecin traitant ou auprès des consultations de conseils aux voyageurs. Certaines vaccinations pourront ainsi être conseillées en tenant compte de vos antécédents médicaux. En raison du délais nécessaire à l'efficacité du vaccin, il est conseillé de s'y prendre suffisamment à l'avance en cas de voyage planifié. Attention, certaines vaccinations peuvent être obligatoires et exigées par le pays d'accueil. C'est le cas de la vaccination pour la fièvre jaune (anti amarile).
  • Pourquoi vacciner mon enfant contre la rougeole, les oreillons et la rubéole ?"
    La rougeole, les oreillons et la rubéole sont des maladies très contagieuses*. En l'absence de vaccination, pratiquement tout le monde attrape ces maladies un jour ou l'autre. Elles sont souvent sans gravité mais elles peuvent entraîner des complications parfois graves, voire mortelles. Dans le cas de la rougeole, les complications les plus graves sont les pneumonies et les encéphalites (inflammation du cerveau) qui peuvent laisser des séquelles neurologiques graves. La rubéole chez la femme enceinte, peut engendrer des malformations foetales graves. Enfin, les oreillons peuvent induire des pertes d'audition chez l'enfant ou être cause de stérilité chez l'adolescent. A ce jour, il n'existe aucun traitement curatif contre ces trois maladies. Vacciner contre ces maladies permet de les éviter, d'éviter les complications qu'elles peuvent entraîner et de protéger indirectement les nourrissons de moins de 1 an et les malades qui ne peuvent être vaccinés.
  • Pourquoi un vaccin contre la grippe différent chaque année ?
    Toute vaccination vise à préparer un individu à se défendre contre un agent infectieux en apprenant à son organisme à le reconnaître. Pour cela, il est mis artificiellement en contact par le vaccin avec une forme inactivée du virus. Pour que la vaccination soit efficace, le vaccin doit avoir une bonne ressemblance avec les antigènes susceptibles d'induire une protection contre la maladie. Le vaccin préparé une année est inefficace l'année suivante, car les virus en circulation sont différents de ceux à partir desquels il a été préparé. S'adapter aux variations du virus de la grippe est l'un des impératifs de la fabrication des vaccins.
  • De quoi se composent les vaccins ?
    Les vaccins comportent des antigènes c'est-à-dire des éléments qui vont induire une réponse immunitaire capable de protéger l’individu contre l’infection naturelle ou d’en atténuer les conséquences. (bactéries ou virus vivants atténués, agent bactérien ou viral entier inactivé, fractions antigéniques ou sous-unités vaccinantes). Les autres composants sont les adjuvants (sels d’aluminium, adjuvant lipidique..) qui stimulent la réaction immunitaire induite par les vaccins, les conservateurs (thiomersal) qui évitent le risque infectieux principalement retrouvé dans les présentations multidoses, et des agents inactivants (formaldéhyde) pour l’inactivation et la détoxification des agents infectieux.
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